Un bel écho chez Annick !
A bas le Covid !
Vous les enfants gâtés n’ayant connu de guerre,
Réveillez-vous enfin ! Ouvrez mon horizon !
Ôtez ce masque infect, écoutez la raison,
Ma liberté s’arrête et la vôtre est vulgaire !
Vous oubliez déjà tout ce qui fut naguère,
Et pourtant le passé pleure son oraison.
Combien de nos aïeux ont quitté leur prison
Sans profiter jamais de notre instinct grégaire…
La balle est dans le camp des plus savants que nous,
Ceux qui par leur science ont guéri mon doux père
Quand la tuberculose avançait à genoux…
On vous offre la vie et non pas la vipère !
Combien il sera bon de quitter les burnous,
Quand ce fichu virus mourra dans son repaire !
Annie